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Bonne année ! blague cynique en prime

On l’a dit et redit. Les revues de l’année nous l’ont démontré avec brio (mention spéciale pour les Zapartistes), 2010 aura été l’année du cynisme. Cynisme de nos politiciens, cynismes de vous, de toi, moi et vous autres.

Pour 2011, je nous souhaite d’en revenir de notre maudit cynisme (cyclique, il en a déjà vu d’autres) et de passer à autre chose.

Informons-nous, lisons et respectons notre putain de devise : « Je me souviens ».

Bref, faîtes votre boulot de citoyens et lâchez-moi avec la maudite droite ! À se vautrer dans le cynisme, à espérer de la droite, c’est dans la marde que vous allez vous retrouver.
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Sur ce, Bonne année. Et en prime, une mauvaise blague:


C’est l’automne. Un autobus emmène les principaux dirigeants du Parti libéral à leur congrès à Québec. Soudain, les roues de l’autobus glissent sur une plaque de glace sournoisement cachée sous une fine couche de neige. L’autobus percute un sapin sur une terre de Lotbinière et est complètement bousillé.

Réveillé par le bruit strident de l’accident, l’agriculteur à qui appartient la vaste terre, sitôt arrivé sur les lieux, s’empresse de creuser un trou et d’enterrer les politiciens.

Quelques heures plus tard, un policier de la SQ passe sur la route et aperçoit l’autobus écrasé. Il se presse alors de demander à l’agriculteur où sont passés tous les politiciens. Le vieil agriculteur lui répond alors qu’il les a tous enterrés près du puits de forage…

Le policier demande alors au vieil homme : « Mais étaient-ils tous morts ?? » Et l’agriculteur de lui répondre : « Ben, certains d’entre eux prétendaient qu’ils n’étaient pas morts, mais vous savez comment les Libéraux sont menteurs ! »


Jean Charest au Ciel

Mai 7, 2010 1 commentaire


(Blague reçue par courriel. Je crois qu’il s’agit d’une vielle blague réactualisée pour les besoins de la cause. Il faut dire qu’elle lui sied comme un gant.)

Jean Charest meurt accidentellement.

Il est accueilli au Paradis par Saint-Pierre qui lui dit :

« Bienvenu ! Je suis fort étonné de te voir ici… Nous ne voyons que si rarement des Libéraux débarquer ici, que nous ne savons pas trop quoi faire de toi. Enfin, le Grand Patron veut que tu passes un jour ici et un jour en Enfer.

Ensuite, tu décideras de l’endroit où tu veux rester pour l’éternité. »

« Mais j’ai déjà décidé. Je veux rester au paradis », répond alors M. Charest.

« Je suis désolé, mais nous avons nos règlements. »

Saint-Pierre le conduit donc vers l’ascenseur en direction de l’Enfer.

Quand la porte s’ouvre, Jean Charest se retrouve sur un magnifique terrain de golf vert. Le soleil brille dans un ciel sans nuage et il fait un parfait 25 degrés sans aucune humidité.

Il retrouve alors ses amis Trudeau, Gagliano, Harris et Accurso en face d’un magnifique Club House. Toute la famille libérale est là également. Tout le monde accourt pour saluer Jean et l’embrasser. Ils placotent et se commémorent les bons coups du passé.

Ils jouent ensuite une partie de golf et terminent la journée en dînant au homard et au caviar.

M. Charest, d’abord hésitant, trinque avec le diable et finit par trouver le personnage sympathique. Il est gentil et raconte de bonnes histoires, il est bon joueur de tours.

Ils s’amusent tellement qu’ils ne voient pas la journée passer. Arrive néanmoins le soir. Jean Charest salue tous ses amis, les serrent dans ses bras, puis reprend l’ascenseur qui monte vers le Ciel.

Saint-Pierre l’accueille à la sortie.

« C’est maintenant le temps de visiter le Ciel », dit le vieil homme en lui ouvrant la porte du Paradis.

Jean Charest se retrouve alors en compagnie de Lévesque, Bourgault, Frère André et Khadir. Ils discutent littérature et histoire, ils sont bienveillants et courtois les uns envers les autres. Ils ne font aucune blague cochonne. Aucun moyen de parler d’argent !

Le restaurant où ils mangent est ordinaire et comme tous ces gens sont pauvres, Charest n’a aucune connaissance autour de lui. Personne ne le reconnaît !

Pire ! Jésus est une espèce de hippie qui ne parle que de paix éternelle ! Répétant ses vieilles rengaines :

« Chassez les marchands du Temple… Il sera plus difficile à un riche d’entrer dans mon royaume qu’à un chameau de passer par le chas d’une aiguille », etc.

La journée terminée, Saint-Pierre revient :

« Alors Jean, tu dois maintenant choisir »

Charest réfléchit un instant et dit :

« Bon, je n’aurais jamais pensé faire ce choix. Je trouve le paradis intéressant, mais je crois néanmoins que je serai plus à l’aise en Enfer avec mes amis. »

Saint-Pierre l’escorte alors jusqu’à l’ascenseur et Jean redescend en Enfer.

Quand la porte s’ouvre, il se retrouve dans une vaste plaine brûlée et stérile, remplie de vidanges et de déchets toxiques.

Il aperçoit alors tous ses amis en guenilles, enchaînés les uns aux autres, en train de ramasser les déchets avec de grands sacs noirs. Les mains et le visage noirs de saleté, ils se plaignent de leurs supplices.

Le diable s’amène alors, posant son bras velu et puant sur l’épaule du nouveau.

« Je ne comprends pas, balbutie Jean Charest. J’étais ici hier, il y avait le plus beau terrain de golf inimaginable, un Club House incroyable, de l’alcool et de belles femmes. On s’est tous follement amusés !

Aujourd’hui, je ne vois qu’un désert d’immondices où tout le monde est misérable. »

Le Diable le regarde, lui sourit et lui susurre à l’oreille :

« Écoute Jean, hier, nous étions en campagne électorale. Aujourd’hui, tu as voté pour moi ! »